Christophe Curien

Lorsque le CESAL, par la voix charmante d’Anne-Lucie THIZEAU, m’a demandé de réaliser une peinture à l’effigie de mon père, j’en fus tout

  • à la fois très flatté et grandement paniqué.Ravi de cette mission de confiance me permettant dans un cadre officiel d’exercer mes talents picturaux sur le motif même de mes origines,
  • Mais craintivement perturbé à l’idée de triturer, dans les règles de l’art, la sacro-sainte image de l’autorité paternelle.

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